Les ministres et chefs d'Etat, y compris le président de la Confédération Ueli Maurer, se rendent en Arabie Saoudite pour le forum Future Investment Initiative. L'année passée, l'assassinat de Jamal Khashoggi avait provoqué des annulations
Pour le journaliste à France 24 et auteur de «Etat islamique, le fait accompli» (Ed. Plon), la priorité du terroriste, en se cachant à Idlib, était de se mettre hors de portée de l’aviation américaine
Donald Trump accroche désormais un trophée à son bilan politique contesté: la mort du chef de l’Etat islamique, Abou Bakr al-Baghdadi, traqué depuis des années. L’organisation terroriste n’est pas pour autant terrassée
La liquidation du chef historique de l’Etat islamique représente un grand succès pour Donald Trump. Mais il n’est pas certain qu’elle aura un impact décisif sur le cours de la guerre
Des centaines d'Irakiens défilent, ce samedi, au lendemain d'une journée de violences meurtrières contre des QG de partis et de groupes armés. Peu avant une réunion du Parlement conspué dans la rue
La contestation antigouvernementale a repris en Irak, avec des violences faisant vendredi 24 morts à Bagdad et dans le sud du pays. Les protestataires s'en sont pris aux institutions, partis et groupes armés
Les renforts militaires américains sont envoyés pour protéger les champs pétroliers de l'est syrien de l'EI. Sur le plan diplomatique, les membres de l'OTAN ont eu une «discussion musclée» sur l'attitude à adopter face à la Turquie
Une mobilisation des partisans du leader chiite Moqtada Sadr est attendue vendredi pour dénoncer la corruption des dirigeants. Des violences sont craintes, 157 personnes ont été tuées début octobre
OPINION. L’occupation turque du nord de la Syrie ne causerait pas seulement le retour des djihadistes de Daech. Elle mènerait aussi la région dans une grande crise politique et humanitaire, estime Ihsan Kurt, spécialiste de la Turquie
Le ticket de métro au Chili, l’essence en Equateur, les taxes sur les appels au Liban. La contestation populaire s’attaque à la corruption systémique, aux classes dirigeantes inchangées, au recul des libertés, à l’ordre établi… Tour d’horizon médiatique
Lors du sommet Vladimir Poutine-Recep Tayyip Erdogan mardi à Sotchi, la Russie s’est engagée à faciliter le retrait des forces kurdes le long de la frontière turque. Un rapprochement entre les frères ennemis turc et syrien paraît inéluctable
ÉDITORIAL. La Russie pousse à un rapprochement entre Ankara et Damas. Si cela permet de diminuer l’intensité du conflit, les Européens peuvent-ils s’y opposer?
L’année 2019 est-elle une année de révolte dans le monde? Comment expliquer la multiplication des mouvements sociaux ou politiques? Réponses avec Pascal Boniface, expert en géopolitique
Après l’accord intervenu ce mardi soir entre Vladimir Poutine et le président turc Erdogan sur le contrôle du Kurdistan syrien, Moscou assoit sa nouvelle position, quasi hégémonique, dans la région. Mais pour assurer son succès à long terme, le Kremlin devra perfectionner ses capacités de médiateur
Erdogan et Poutine se sont accordés mardi sur un retrait des forces kurdes du nord-est de la Syrie. Ils prendront en commun le contrôle de cette zone en proie à un conflit croissant entre Ankara et combattants kurdes
Son rival, Benny Gantz, qui était dans un mouchoir de poche avec le premier ministre lors des dernières élections, a quatre semaines pour tenter à son tour de former un gouvernement. Mais ses chances sont minces, et «Bibi» pourrait revenir par la fenêtre
Le président turc a vertement critiqué lundi le soutien affiché de l’Otan et des Européens pour les Kurdes du nord de la Syrie, contre lesquels il a lancé une opération militaire la semaine dernière
Cette mobilisation, ayant rassemblé des centaines de milliers de Libanais dimanche, devrait conduire le gouvernement à annoncer lundi la mise en oeuvre de réformes longtemps attendues
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