L’europhile de jadis ne cache plus son opposition à une UE devenue trop néolibérale à son goût. Mais c’est sur lui que reposent tous les espoirs des milieux patronaux pour sauver la voie bilatérale avec l’UE
OPINION. Dans une tribune pour «Le Temps», Pierre-Yves Maillard, président de l’USS, fustigeait l’accord-cadre négocié par Berne. Son camarade de parti Mario Carera, délégué du PSS à la présidence du PS européen, lui donne la réplique
OPINION. Le non des syndicats à l’accord-cadre avec l’UE signifie le refus d’une politique néolibérale qui a déjà fait assez de dégâts, explique le nouveau président de l’USS, Pierre-Yves Maillard
OPINION. Même si l’issue est incertaine, la conclusion d’un accord institutionnel entre la Suisse et l’UE n’est plus éloignée. Encore faut-il que la Suisse le veuille et le dise. A Bruxelles, Jean Russotto estime que l’UE est prête à faciliter la conclusion d’un accord. Mais à quelles conditions et comment éviter un inutile gâchis?
OPINION. L’ambiance, dans le milieu fédéral, ressemble à celle qu’entretiennent les membres du parlement britannique à propos du Brexit: tout à leurs querelles domestiques, ils ne croient pas nécessaire de prendre la parole européenne au sérieux, écrit notre chroniqueuse Joëlle Kuntz. Ils ont tort
OPINION. Réuni à deux reprises la semaine dernière, le Conseil fédéral se rallierait à la stratégie de Karin Keller-Sutter pour renégocier l’an prochain avec Bruxelles. Illusoire et dangereux, écrit notre chroniqueur François Nordmann
OPINION. Comment, avec une telle vision fataliste et utilitariste, le Conseil fédéral espère-t-il convaincre un jour les Suisses d’accepter un accord portant sur un partage formel de souveraineté avec l’Europe? écrit notre chroniqueur Yves Petignat
Dès le 23 mai au Royaume-Uni et aux Pays-Bas et jusqu’au 26 mai, 400 millions d’Européens éliront les 751 membres du Parlement européen. La participation et le poids des eurosceptiques seront les grands enjeux du scrutin. Un Parlement plus éclaté ne ferait pas a priori les affaires de la Suisse
Le camp du oui à la modification de la loi sur les armes est très majoritaire en ville. A l’inverse, les régions les plus périphériques du pays, les plus traditionnelles, ont voté massivement non. Le commentaire des résultats détaillés par le géographe Pierre Dessemontet
OPINION. Ce dimanche, les deux questions soumises au vote confirment que la Suisse ne bouge que sous la pression de l’extérieur. Mais elle bougera, explique notre chroniqueur Yves Petignat
A l’approche des élections du 26 mai, la chaîne de télévision franco-allemande Arte célèbre l’Europe dans une sélection de programmes spéciaux, dont un documentaire consacré au dispositif d'échange. «Les Enfants d’Erasmus» est une œuvre passionnante et nécessaire
OPINION. Refuser la révision de la loi sur les armes reviendrait à péjorer notre qualité de vie et les conditions-cadres de notre économie, écrit Philippe Miauton, directeur adjoint de la Chambre vaudoise du commerce et de l’industrie
ÉDITORIAL. Le scrutin européen qui se déroulera le 26 mai dans la plupart des pays de l’Union est tout sauf étranger à la Suisse. Les résultats qui sortiront des urnes auront, qu’on le veuille ou non, un impact sur notre avenir immédiat
Le président de la Commission européenne a défendu mardi son bilan à deux jours d’un sommet des 27 censé préparer l’avenir de l’Union et à trois semaines d’élections européennes cruciales. Il s’est montré content de lui et déçu de la Suisse
Le Nouveau mouvement européen suisse a réitéré samedi son appel au Conseil fédéral à signer l'accord institutionnel avec l'UE. Il a par ailleurs remis le Prix de l’Europe à la conseillère aux Etats Liliane Maury Pasquier (PS/GE)
OPINION. La Suisse va jouer la montre pour repousser au maximum la signature d’un accord institutionnel avec l’UE. Et dans ce jeu, la gauche syndicale fait l’auxiliaire de l’UDC, écrit François Nordmann
OPINION. Le président de la Confédération, Ueli Maurer, poursuit la politique naïve de la Suisse à l’égard de la Chine, regrette le conseiller national Fabian Molina
La votation sur les armes du 19 mai fait couler beaucoup d’encre numérique. Qu’ils soient pour ou contre l’objet du scrutin, les internautes suivent le débat avec passion
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